Le PCC (parti communiste chinois - Pas le pays de la chine, mais un parti, qui dirige bientôt le monde si nous n'y prenons pas garde. 2 millions 100 morts au début du covid19, sous silence...

Souffle de Vie Sam 16 Jan - 3:01

C'est un peu comme si on accusait la FRANCE entière et le peuple entier d'être responsable d'un parti politique. Sommes-nous responsable de ce que MaKron fait et décide seul ? Des décrets parfois même pas signé.. pas de lois... seul sur son trône : IL DÉCIDE.

Sommes-nous responsables ? En quelque sorte oui mais c'est une autre histoire, (notre consentement).

Concernant le Virus, les problèmes sont mondiaux SEUL UN PETITE PARTIE DE CHAQUE PAYS EST IMPLIQUE.

Cette petite partie est impliquée mais seule une infinitésimale partie est RESPONSABLE. Prenons par exemple 10%... 1% est à la tête et 9% se sont fait piégés. Le reste de la petite partie sont des gens lambda piégé, par l’apport d'affaire tombées du ciel... Pas des soirées extraordinaires de rêves où ils se sont crus au paradis... Par de l'apport de drogue, de femmes, d'enfants. Etc.

Ensuite ils ont été filmés. Et le piège s'est retourné contre eux. S'ils n'obéissent pas, il se passe des choses graves pour eux, où contre leur famille, femme, enfants... etc. Vous voyez le tableau.

Quand ils réalisent le piège : IL EST TROP TARD, et là, c'est la dégringolade de pire en pire et la spirale est en route.

Les plus haute sphère sont le 1%. Chaque pays est impacté. Ils n'ont donc personne vers qui se retourner. Personne jusqu'en fin 2016, date ou le Président Trump à été élu. Il se bat depuis le lendemain de sa prise de poste, où il s'est rendu au Pentagone pour régler la pédophilie. Depuis, il n'a de cesse de nettoyer les marais et ce DANS LE MONDE ENTIER. Il a signé le décret CONTRE LA TRAITE DES ËTRES HUMAINS. Voilà pourquoi il est tant décrié. Ouvrez les yeux et les neurones en marche et vous comprendrez.

Nous devons tolérance à ces 9% piégés, nous devons faire la différence.

Pour moi, j'avoue que cela a été difficile de "voir" ce que je vois aujourd'hui. Ça le restera au fond de moi mais j'ai changé d'optique. J'ai choisi un autre chemin. Le chemin de WWG1WGA = Où nous allons UN, nous allons TOUS !

Que celui qui... me jette la première pierre !

Traduction du premier article déclassé : (traduit en français par hotmail.fr)

Vous copiez collez le texte anglais dans votre email et vous vous l'envoyez. Vous l'ouvrez et il se traduit en quelques secondes. J'ajoute la liste de tous les "déclas" qui seront mis en ligne ces jours prochains.

Article :

Depuis plus d’un an, le Parti communiste chinois (PCC) empêche systématiquement une enquête transparente et approfondie sur l’origine de la pandémie covid-19, choisissant plutôt de consacrer d’énormes ressources à la tromperie et à la désinformation. Près de deux millions de personnes sont mortes. Leurs familles méritent de connaître la vérité. Ce n’est que par la transparence que nous pourrons apprendre ce qui a causé cette pandémie et comment prévenir la prochaine.

Le gouvernement des États-Unis ne sait pas exactement où, quand et comment le virus COVID-19 , connu sous le nom de SRAS-CoV-2, a été transmis initialement à l’homme. Nous n’avons pas déterminé si l’éclosion avait commencé par contact avec des animaux infectés ou si elle avait été le résultat d’un accident dans un laboratoire de Wuhan, en Chine.

Le virus aurait pu émerger naturellement du contact humain avec des animaux infectés, se propageant dans un modèle compatible avec une épidémie naturelle. Alternativement, un accident de laboratoire pourrait ressembler à une épidémie naturelle si l’exposition initiale ne comprenait que quelques individus et a été aggravée par une infection asymptomatique. Des scientifiques chinois ont fait des recherches sur les coronavirus d’origine animale dans des conditions qui augmentaient le risque d’exposition accidentelle et potentiellement involontaire.

L’obsession mortelle du PCC pour le secret et le contrôle se fait au détriment de la santé publique en Chine et dans le monde entier. Les informations non divulguées précédemment dans cette fiche d’information, combinées à des rapports open source, mettent en évidence trois éléments sur l’origine de COVID-19 qui méritent un examen plus approfondi :

1. Maladies à l’intérieur de l’Institut de Virologie de Wuhan (WIV) :

Le gouvernement américain a des raisons de croire que plusieurs chercheurs à l’intérieur du WIV sont tombés malades à l’automne 2019, avant le premier cas identifié de l’épidémie, avec des symptômes compatibles avec covid-19 et des maladies saisonnières courantes. Cela soulève des questions quant à la crédibilité de l’affirmation publique du chercheur principal shi Zhengli selon laquelle il n’y avait « zéro infection » parmi le personnel du WIV et les étudiants des virus liés au SRAS-CoV-2 ou au SRAS.
Les infections accidentelles dans les laboratoires ont causé plusieurs flambées de virus précédentes en Chine et ailleurs, y compris une épidémie de SRAS en 2004 à Beijing qui a infecté neuf personnes, tuant une.
Le PCC a empêché des journalistes indépendants, des enquêteurs et des autorités sanitaires mondiales d’interviewer des chercheurs du WIV, y compris ceux qui étaient malades à l’automne 2019. Toute enquête crédible sur l’origine du virus doit inclure des entrevues avec ces chercheurs et une comptabilité complète de leur maladie non déclarée précédemment.

2. Recherche au WIV :

À partir d’au moins 2016 – et sans aucune indication d’arrêt avant l’éclosion du COVID-19 – les chercheurs du WIV ont mené des expériences impliquant RaTG13, le coronavirus chauve-souris identifié par le WIV en janvier 2020 comme son échantillon le plus proche du SRAS-CoV-2 (96,2 % similaire). Le WIV est devenu un point focal pour la recherche internationale sur le coronavirus après l’épidémie de SRAS de 2003 et a depuis étudié des animaux, y compris des souris, des chauves-souris et des pangolins.
Le WIV a publié un dossier de mener des recherches sur le « gain de fonction » pour concevoir des virus chimériques. Mais le WIV n’a pas été transparent ou cohérent quant à son dossier d’étude des virus les plus similaires au virus COVID-19, y compris « RaTG13 », qu’il a échantillonné dans une grotte de la province du Yunnan en 2013 après que plusieurs mineurs sont morts d’une maladie semblable au SRAS.
Les chercheurs de l’OMS doivent avoir accès aux dossiers des travaux du WIV sur les chauves-souris et autres coronavirus avant l’épidémie de COVID-19. Dans le cadre d’une enquête approfondie, ils doivent avoir une comptabilité complète des raisons pour lesquelles le WIV modifié, puis supprimé les dossiers en ligne de son travail avec RaTG13 et d’autres virus.

3. Activité militaire secrète au WIV :

Le secret et la non-divulgation sont une pratique courante pour Pékin. Depuis de nombreuses années, les États-Unis s’inquiètent publiquement du travail passé de la Chine en matière d’armes biologiques, que Pékin n’a ni documenté ni manifestement éliminé, malgré ses obligations claires en vertu de la Convention sur les armes biologiques.
Bien que le WIV se présente comme une institution civile, les États-Unis ont déterminé que le WIV avait collaboré à des publications et à des projets secrets avec l’armée chinoise. Depuis au moins 2017, le WIV s’est engagé dans des recherches classifiées, y compris des expériences sur des animaux de laboratoire, pour le compte de l’armée chinoise.
Les États-Unis et d’autres donateurs qui ont financé ou collaboré à la recherche civile au WIV ont le droit et l’obligation de déterminer si l’un ou l’autre de nos fonds de recherche a été détourné vers des projets militaires chinois secrets au WIV.

Les révélations d’aujourd’hui viennent de gratter la surface de ce qui est encore caché sur l’origine de COVID-19 en Chine. Toute enquête crédible sur l’origine du COVID-19 exige un accès complet et transparent aux laboratoires de recherche de Wuhan, y compris leurs installations, leurs échantillons, leur personnel et leurs dossiers.
Alors que le monde continue de lutter contre cette pandémie – et que les enquêteurs de l’OMS commencent leur travail, après plus d’un an de retards – l’origine du virus reste incertaine. Les États-Unis continueront de faire tout leur possible pour soutenir une enquête crédible et approfondie, notamment en continuant d’exiger la transparence de la part des autorités chinoises.

Source https://linktr.ee/kagbabe