(Lecteur : Sabre) Le sens occulte du terme COVID ... VACCIN ARNm
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(Lecteur : Sabre) Le sens occulte du terme COVID ... VACCIN ARNm
(Lecteur : Sabre) Le sens occulte du terme COVID
Dimanche, 6 Juin 2021, 23:06 PM
38
| de publication de lecteur Par Sabre
Le texte intégral de cet article de Oriental Review peut être consulté à l’adresse suivante : https://orientalreview.org/2020/06/29/on-the-occult-meaning-of-the-term-covid/
... COVID-19 est censé être un acronyme provenant de Corona Virus Disease et l’année où il a été enregistré pour la première fois, 2019. However, what happens if we investigate COVID according to the above-mentioned Dolly/ Ylod/ ד ו ל י algorithm? Il y a de fortes chances que les lettres hébraïques inversées ne renvoient rien de significatif, n’est-ce pas? Après tout, Dolly n’aurait pu être qu’une coïncidence bizarre. Well, coincidence or not, according to the same rule, COVID becomes DIVOC transcribed as ק ו ב י ד in Hebrew and it actually means something – it means possession by an evil spirit. (The word is transcribed into English as dybbuk, b and v being represented through the same Hebrew character, Bet – )ב.
Pour mieux comprendre ce qu’est un dybbuk, nous nous soumettrons à une autorité non moins grande en tant que professeur Yoram Bilu, professeur de sociologie et d’anthropologie à l’Université hébraïque de Jérusalem et récipiendaire du prestigieux prix Israël en 2013. Selon Bilu :
« Le terme dybbuk (dibbuq) a été utilisé dans les cercles mystiques juifs pour désigner l’esprit d’une personne morte, un pécheur notoire de son vivant, qui a pris temporairement possession d’un être humain (...) la possession de dybbuk a toujours été conçue comme une affliction ou une maladie et l’agent possesseur un intrus étranger et dangereux qui devait être expulsé. (...) L’exorciste a toujours été un rabbin vénéré qui a confronté l’esprit à diverses mesures religieusement informées utilisées dans un ordre fixe et gradué.
Citant les œuvres du célèbre kabbaliste Gershom Sholem, Bilu souligne que « les dybbuks, les démons ou les âmes maléfiques possédaient une créature malheureuse ou mentalement malade ». Les dybbuks semblent cibler principalement les femmes et les enfants et « l’intensification émotionnelle ou l’excitation » sont des conditions préalables à une telle possession démoniaque. Bilu conclut :
« La possession de Dybbuk a laissé la victime comme un objet passif, temporairement dépourvu de conscience de soi et sans maîtrise de soi vis-à-vis de deux autorités extérieures : l’esprit possesseur qui a privé le possédé de son identité individuelle et le rabbin-exorciste qui a forcé l’esprit à partir »...
... Les synchronicités entre un dybbuk et le virus producteur de COVID ne se limitent pas au nom seulement. Dybbuk vient du verbe hébreu dāḇaq qui se traduit par « adhérer » ou « s’accrocher ».
Semblable à la façon dont un dybbuk s’emparé du corps de sa victime, le coronavirus s’accroche à une cellule hôte et prend le contrôle. Selon le MIT Technology Review:
« Les pointes protéiques du virus se fixent à une protéine à la surface des cellules, appelée ACE2. Normalement, ACE2 joue un rôle dans la régulation de la pression artérielle. Mais lorsque le coronavirus s’y lie, il déclenche des changements chimiques qui fusionnent efficacement les membranes autour de la cellule et du virus, permettant à l’ARN du virus de pénétrer dans la cellule.
Le virus détourne ensuite la machinerie de fabrication des protéines de la cellule hôte pour traduire son ARN en nouvelles copies du virus.
Peut-être que les analogies dans le nom et l’action entre COVID et dybbuk ne sont que des coïncidences ou un jeu de mots bénin. peut-être. Mais peut-être sont-ils une indication que la maladie est une étape majeure dans le « traitement alchimique de l’humanité », un événement de première importance, tout comme « Trinity » et « Dolly »...
Ceci n'est pas mon travail, juste je le transmet.
Sabre
(Merci Sabre pour tes recherches et articles toujours pointues. WWG1WGA Souffle de Vie)
source
https://operationdisclosureofficial.com/2021/06/06/reader-sabre-the-occult-meaning-of-the-term-covid/
Dimanche, 6 Juin 2021, 23:06 PM
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Le texte intégral de cet article de Oriental Review peut être consulté à l’adresse suivante : https://orientalreview.org/2020/06/29/on-the-occult-meaning-of-the-term-covid/
... COVID-19 est censé être un acronyme provenant de Corona Virus Disease et l’année où il a été enregistré pour la première fois, 2019. However, what happens if we investigate COVID according to the above-mentioned Dolly/ Ylod/ ד ו ל י algorithm? Il y a de fortes chances que les lettres hébraïques inversées ne renvoient rien de significatif, n’est-ce pas? Après tout, Dolly n’aurait pu être qu’une coïncidence bizarre. Well, coincidence or not, according to the same rule, COVID becomes DIVOC transcribed as ק ו ב י ד in Hebrew and it actually means something – it means possession by an evil spirit. (The word is transcribed into English as dybbuk, b and v being represented through the same Hebrew character, Bet – )ב.
Pour mieux comprendre ce qu’est un dybbuk, nous nous soumettrons à une autorité non moins grande en tant que professeur Yoram Bilu, professeur de sociologie et d’anthropologie à l’Université hébraïque de Jérusalem et récipiendaire du prestigieux prix Israël en 2013. Selon Bilu :
« Le terme dybbuk (dibbuq) a été utilisé dans les cercles mystiques juifs pour désigner l’esprit d’une personne morte, un pécheur notoire de son vivant, qui a pris temporairement possession d’un être humain (...) la possession de dybbuk a toujours été conçue comme une affliction ou une maladie et l’agent possesseur un intrus étranger et dangereux qui devait être expulsé. (...) L’exorciste a toujours été un rabbin vénéré qui a confronté l’esprit à diverses mesures religieusement informées utilisées dans un ordre fixe et gradué.
Citant les œuvres du célèbre kabbaliste Gershom Sholem, Bilu souligne que « les dybbuks, les démons ou les âmes maléfiques possédaient une créature malheureuse ou mentalement malade ». Les dybbuks semblent cibler principalement les femmes et les enfants et « l’intensification émotionnelle ou l’excitation » sont des conditions préalables à une telle possession démoniaque. Bilu conclut :
« La possession de Dybbuk a laissé la victime comme un objet passif, temporairement dépourvu de conscience de soi et sans maîtrise de soi vis-à-vis de deux autorités extérieures : l’esprit possesseur qui a privé le possédé de son identité individuelle et le rabbin-exorciste qui a forcé l’esprit à partir »...
... Les synchronicités entre un dybbuk et le virus producteur de COVID ne se limitent pas au nom seulement. Dybbuk vient du verbe hébreu dāḇaq qui se traduit par « adhérer » ou « s’accrocher ».
Semblable à la façon dont un dybbuk s’emparé du corps de sa victime, le coronavirus s’accroche à une cellule hôte et prend le contrôle. Selon le MIT Technology Review:
« Les pointes protéiques du virus se fixent à une protéine à la surface des cellules, appelée ACE2. Normalement, ACE2 joue un rôle dans la régulation de la pression artérielle. Mais lorsque le coronavirus s’y lie, il déclenche des changements chimiques qui fusionnent efficacement les membranes autour de la cellule et du virus, permettant à l’ARN du virus de pénétrer dans la cellule.
Le virus détourne ensuite la machinerie de fabrication des protéines de la cellule hôte pour traduire son ARN en nouvelles copies du virus.
Peut-être que les analogies dans le nom et l’action entre COVID et dybbuk ne sont que des coïncidences ou un jeu de mots bénin. peut-être. Mais peut-être sont-ils une indication que la maladie est une étape majeure dans le « traitement alchimique de l’humanité », un événement de première importance, tout comme « Trinity » et « Dolly »...
Ceci n'est pas mon travail, juste je le transmet.
Sabre
(Merci Sabre pour tes recherches et articles toujours pointues. WWG1WGA Souffle de Vie)
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