Accueil8 meurent entièrement vaccinés de la COVID dans le Maine, alors que les États continuent de signaler des cas « révolutionnaires » plus de 3 459 cas de COVID entraînant une hospitalisation ou un décès.
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8 meurent entièrement vaccinés de la COVID dans le Maine, alors que les États continuent de signaler des cas « révolutionnaires » plus de 3 459 cas de COVID entraînant une hospitalisation ou un décès.
Souffle de Vie Mar 15 Juin - 1:15
8 meurent entièrement vaccinés de la COVID dans le Maine, alors que les États continuent de signaler des cas « révolutionnaires »
Le Maine signale huit décès chez des personnes entièrement vaccinées atteintes de la COVID et les Centers for Disease Control and Prevention font état de plus de 3 459 cas de COVID entraînant une hospitalisation ou un décès.
Par
Megan Redshaw
Le Défenseur subit une censure sur de nombreux réseaux sociaux. Assurez-vous de rester en contact avec les nouvelles qui comptent en vous abonnant à nos meilleures nouvelles du jour. C’est gratuit.
Huit personnes dans le Maine sont mortes avec COVID après avoir été complètement vaccinées, selon les derniers chiffres des Centers for Disease Control and Prevention (CDC) du Maine, qui ont confirmé un total de 457 cas de percée dans l’État.
Les données initiales suggèrent que les cas de percée dans le Maine sont plus fréquents chez les personnes âgées et les personnes ayant des problèmes de santé sous-jacents - les mêmes populations qui, parmi les personnes non vaccinées, sont les plus à risque d’hospitalisation ou de décès dus au virus.
Environ la moitié des personnes vaccinées dans le Maine qui ont été testées positives à la COVID n’avaient pas éprouvé de symptômes lorsqu’elles ont été contactées par les enquêteurs, selon les CDC du Maine.
Dans le Maine et d’autres États, toute personne dont le test de dépistage du SARS-Cov-2 est positif deux semaines après avoir reçu la dose unique de Johnson &Johnson ou la fin de la vaccination à deux doses de Moderna ou de Pfizer est enregistrée comme un cas révolutionnaire.
La fille d’une femme du Maine décédée du virus malgré sa vaccination a déclaré qu’elle souhaitait avoir plus d’informations disponibles sur les cas de rupture. Si elle en avait su plus, a-t-elle dit, elle aurait pris plus de précautions malgré le statut vaccinal de sa mère et aurait insisté davantage pour qu’elle se fait tester et se faire soigner lorsqu’elle a eu des symptômes pour la première fois.
Le 3 juin, le comté de Napa, en Californie, a annoncé qu’une femme entièrement vaccinée, qui avait plus d’un mois de chuté de son deuxième vaccin de Moderna, était décédée après avoir été hospitalisée pour covid. La femme de 65 ans avait des conditions sous-jacentes et a été testée positive pour la variante Alpha, a rapporté le New York Times.
« Je suis très triste qu’elle ait eu une maladie suffisamment grave pour qu’elle ait en fait entraîné sa mort », a déclaré le [url=https://www.nfid.org/about-nfid/board-of-directors/william-schaffner-md/#:~:text=William Schaffner%2C MD%2C is medical,Control and Prevention (CDC).]Dr William Schaffner,[/url]directeur médical de la National Foundation for Infectious Diseases et expert envaccins à l’Université Vanderbilt. Mais « nous nous attendions à avoir une infection occasionnelle », a-t-il déclaré.
En date du 9 juin, plus de 5 723 cas de COVID avaient été identifiés en Californie, selon le Département de la santé publique de Californie (CDPH).
CHD appelle la FDA à retirer les vaccins COVID du marché - Soumettre un commentaire
Sur les 5 723 cas, au moins 417 personnes ont été hospitalisées et moins 47 sont décédées. Environ 48 % des cas ne entissaient pas de données sur l’hospitalisation. On ne sait pas si la principale cause d’hospitalisation ou de décès était la COVID ou s’il y avait d’autres causes.
Il existe peu de données sur l’efficacité des vaccins COVID chez les personnes souffrant de problèmes de santé sous-jacents, en particulier les troubles immunitaires, car ils n’ont pas été inclus dans les essais initiaux des vaccins, a déclaré le CDPH. Mais il y a de plus en plus de preuves que les personnes immunodéprimées peuvent ne pas avoir une réponse forte au vaccin.
Comme The Defender l’a rapporté le mois dernier, des recherches émergentes montrent que 15% à 80% des personnes atteintes de certaines conditions médicales ne génèrent pas beaucoup d’anticorps, le cas échéant, après avoir reçu un vaccin COVID.
Selon NBC News, les personnes qui prennent des médicaments qui suppriment leur système immunitaire, celles qui prennent des médicaments pour les troubles inflammatoires et celles qui ont des cancers du sang ont montré une réponse anticorps significativement plus faible au vaccin.
Une étude sur la transplantation d’organes publiée dans jama a révélé que 46% des 658 patients transplantés n’avaient pas monté de réponse anticorps après deux doses des vaccins Pfizer-BioNTech ou Moderna. Les chercheurs pensent que l’absence de réaction est probablement le résultat de la prise d’une classe de médicaments immunosuppresseurs, appelés antimétabolites.
D’autres États continuent de signaler des cas de percée, parmi lesquels le Texas, qui a enregistré plus de 768 cas de COVID de percée jusqu’au 1er juin, avec 8% (61 cas) entraînant la mort.
À Washington, le département de la Santé de l’État a signalé 1 837 cas d’infection par une percée jusqu’au 9 juin. De ce nombre, 10 % ont entraîné une hospitalisation et 31 personnes sont décédées d’une maladie liée à la COVID. La majorité des cas se sont produits dans le groupe d’âge des 35 à 49 ans.
Les CDC cessent de compter les cas de percée à moins qu’ils n’entraînent une hospitalisation ou la mort
Les CDC disent qu’ils travaillent avec les départements de santé des États et locaux pour enquêter sur les cas de percée du vaccin COVID - mais contrairement aux départements de la santé de l’État, à compter du 1er mai, l’agence a déclaré qu’elle ne suivait que les cas de percée qui entraînent une hospitalisation ou un décès.
Les CDC ont déclaré qu’ils ont apporté le changement dans la façon dont ils comptent les cas de percée pour « maximiser la qualité des données collectées sur les cas de la plus grande importance clinique et de santé publique ».
Mais selon le Dr Robert H. Shmerling,rédacteur en chef de la faculté de Harvard HealthPublishing, il pourrait y avoir d’autres raisons pour la décision du CDC. « Tout d’abord, il y a le défi de la messagerie pour encourager les gens à se faire vacciner », a écrit Shmerling. « Se concentrer sur les cas révolutionnaires peut donner l’impression trompeuse que les vaccins ne sont pas efficaces. Cela pourrait compliquer les efforts de lutte contre la réticence à la vaccination.
Le changement dans la déclaration des percées se traduit par une diminution du nombre total de signalements de cas de percée aux États-Unis.
Selon les données des CDC, un total de 10 262 infections par le vaccin SARS-CoV-2 avaient été signalées dans 46 États et territoires américains au 30 avril, dont 995 hospitalisations et 160 décès.
Le site Web des CDC indique que le nombre réel de percées vaccinales est probablement considérablement plus élevé, car le système de surveillance est passif et repose sur la déclaration volontaire des départements de la santé de l’État et peut ne pas être complet. De plus, certains cas révolutionnaires ne seront pas identifiés en raison du manque de tests. Cela est particulièrement vrai dans les cas de maladie asymptomatique ou bénigne.
En date du 7 juin, les CDC ont reçu 3 459 rapports de 47 États et territoires américains d’infection par un vaccin contre la COVID qui a entraîné une hospitalisation ou la mort. Sur les 3 459 rapports, 1 691 (49 %) chez les femmes, 2 642 (76 %) survenues chez des personnes de 65 ans et plus, 3 275 (95 %) ont entraîné une hospitalisation et 603 (17 %) est mort.
Comme pour les rapports précédents, les CDC ont déclaré que l’infection par percée signalée était probablement un sous-dénombrement de toutes les infections au SARS-CoV-2 chez les personnes entièrement vaccinées et qu’il s’agissait d’un instantané qui pourrait être utilisé pour aider à identifier les tendances et à rechercher des signaux parmi les cas de percée vaccinale.
Les personnes qui ont la COVID ont une immunité naturelle durable
Comme l’a rapporté The Defender,une nouvelle étude préliminaire de la Cleveland Clinic a révélé que les personnes précédemment infectées par le SARS-CoV-2 étaient moins susceptibles d’être réinfectées que les personnes entièrement vaccinées qui n’ont jamais eu le virus - ce qui suggère que le vaccin n’est d’aucun avantage pour les personnes qui avaient déjà COVID.
L’étude, disponible sur medRxiv, donne un aperçu de la façon dont le système immunitaire protège le corps une fois qu’une infection COVID est confirmée.
La clinique a étudié 52 238 employés. De ce nombre, 49 659 n’ont jamais eu le virus et 2 579 ont eu la COVID et se sont rétablis. Sur les 2 579 personnes qui ont déjà été infectées, 1 359, ou 53 %, n’ont pas été vaccinées, comparativement à 41 %, ou 22 777, qui ont été vaccinées.
De toutes les infections au cours de la période d’étude,99,3 % sont survenues chez des participants qui n’avaient pas été infectés auparavant et qui n’étaient pas vaccinés. En revanche, 0,7 % des infections sont survenues chez des participants qui n’étaient pas infectés auparavant, mais qui étaient actuellement vaccinés. De manière significative, aucun des 1 359 sujets précédemment infectés qui n’ont pas été vaccinés n’a eu d’infection au SARS-CoV-2 pendant la durée de l’étude.
Pour mieux comprendre la mémoire immunitaire du SARS-CoV-2, des chercheurs dirigés par les Drs Daniela Weiskopf, Alessandro Sette et Shane Crotty de l’Institut d’immunologie La Jolla ont analysé les cellules immunitaires et les anticorps de près de 200 personnes qui avaient été exposées au COVID et guéries, a rapporté The Defender.
Les résultats, publiés dans Science, ont montré que le système immunitaire de plus de95% des personnes guéries de covid avaient des souvenirs durables du virus jusqu’à huit mois après l’infection. Des études antérieures ont montré que l’infection naturelle induisait une forte réponse, mais cette étude a montré que la réponse durait, a déclaré Weiskoph.
Une autre étude publiée dans Nature a évalué l’effet immunogène durable de la réactivité des lymphocytes T au SRAS et au SRAS-2. Les données ont montré que l’immunité naturelle était très robuste — et probablement plus robuste que toute immunité dérivée d’un vaccin.
Le défenseur a déjà fait état de cas de percée dans l’État de Washington, en Floride, en Caroline du Sud, au Texas, à New York, en Californie, au Minnesota et sur l’île des Seychelles,qui a entièrement vacciné plus de membres de sa population contre le COVID que tout autre pays au monde.
https://childrenshealthdefense.org/defender/8-fully-vaccinated-die-covid-maine-breakthrough-cases/?utm_source=salsa&eType=EmailBlastContent&eId=d23d97a3-a34f-4b9f-82b0-5a034097b363
Le Maine signale huit décès chez des personnes entièrement vaccinées atteintes de la COVID et les Centers for Disease Control and Prevention font état de plus de 3 459 cas de COVID entraînant une hospitalisation ou un décès.
Par
Megan Redshaw
Le Défenseur subit une censure sur de nombreux réseaux sociaux. Assurez-vous de rester en contact avec les nouvelles qui comptent en vous abonnant à nos meilleures nouvelles du jour. C’est gratuit.
Huit personnes dans le Maine sont mortes avec COVID après avoir été complètement vaccinées, selon les derniers chiffres des Centers for Disease Control and Prevention (CDC) du Maine, qui ont confirmé un total de 457 cas de percée dans l’État.
Les données initiales suggèrent que les cas de percée dans le Maine sont plus fréquents chez les personnes âgées et les personnes ayant des problèmes de santé sous-jacents - les mêmes populations qui, parmi les personnes non vaccinées, sont les plus à risque d’hospitalisation ou de décès dus au virus.
Environ la moitié des personnes vaccinées dans le Maine qui ont été testées positives à la COVID n’avaient pas éprouvé de symptômes lorsqu’elles ont été contactées par les enquêteurs, selon les CDC du Maine.
Dans le Maine et d’autres États, toute personne dont le test de dépistage du SARS-Cov-2 est positif deux semaines après avoir reçu la dose unique de Johnson &Johnson ou la fin de la vaccination à deux doses de Moderna ou de Pfizer est enregistrée comme un cas révolutionnaire.
La fille d’une femme du Maine décédée du virus malgré sa vaccination a déclaré qu’elle souhaitait avoir plus d’informations disponibles sur les cas de rupture. Si elle en avait su plus, a-t-elle dit, elle aurait pris plus de précautions malgré le statut vaccinal de sa mère et aurait insisté davantage pour qu’elle se fait tester et se faire soigner lorsqu’elle a eu des symptômes pour la première fois.
Le 3 juin, le comté de Napa, en Californie, a annoncé qu’une femme entièrement vaccinée, qui avait plus d’un mois de chuté de son deuxième vaccin de Moderna, était décédée après avoir été hospitalisée pour covid. La femme de 65 ans avait des conditions sous-jacentes et a été testée positive pour la variante Alpha, a rapporté le New York Times.
« Je suis très triste qu’elle ait eu une maladie suffisamment grave pour qu’elle ait en fait entraîné sa mort », a déclaré le [url=https://www.nfid.org/about-nfid/board-of-directors/william-schaffner-md/#:~:text=William Schaffner%2C MD%2C is medical,Control and Prevention (CDC).]Dr William Schaffner,[/url]directeur médical de la National Foundation for Infectious Diseases et expert envaccins à l’Université Vanderbilt. Mais « nous nous attendions à avoir une infection occasionnelle », a-t-il déclaré.
En date du 9 juin, plus de 5 723 cas de COVID avaient été identifiés en Californie, selon le Département de la santé publique de Californie (CDPH).
CHD appelle la FDA à retirer les vaccins COVID du marché - Soumettre un commentaire
Sur les 5 723 cas, au moins 417 personnes ont été hospitalisées et moins 47 sont décédées. Environ 48 % des cas ne entissaient pas de données sur l’hospitalisation. On ne sait pas si la principale cause d’hospitalisation ou de décès était la COVID ou s’il y avait d’autres causes.
Il existe peu de données sur l’efficacité des vaccins COVID chez les personnes souffrant de problèmes de santé sous-jacents, en particulier les troubles immunitaires, car ils n’ont pas été inclus dans les essais initiaux des vaccins, a déclaré le CDPH. Mais il y a de plus en plus de preuves que les personnes immunodéprimées peuvent ne pas avoir une réponse forte au vaccin.
Comme The Defender l’a rapporté le mois dernier, des recherches émergentes montrent que 15% à 80% des personnes atteintes de certaines conditions médicales ne génèrent pas beaucoup d’anticorps, le cas échéant, après avoir reçu un vaccin COVID.
Selon NBC News, les personnes qui prennent des médicaments qui suppriment leur système immunitaire, celles qui prennent des médicaments pour les troubles inflammatoires et celles qui ont des cancers du sang ont montré une réponse anticorps significativement plus faible au vaccin.
Une étude sur la transplantation d’organes publiée dans jama a révélé que 46% des 658 patients transplantés n’avaient pas monté de réponse anticorps après deux doses des vaccins Pfizer-BioNTech ou Moderna. Les chercheurs pensent que l’absence de réaction est probablement le résultat de la prise d’une classe de médicaments immunosuppresseurs, appelés antimétabolites.
D’autres États continuent de signaler des cas de percée, parmi lesquels le Texas, qui a enregistré plus de 768 cas de COVID de percée jusqu’au 1er juin, avec 8% (61 cas) entraînant la mort.
À Washington, le département de la Santé de l’État a signalé 1 837 cas d’infection par une percée jusqu’au 9 juin. De ce nombre, 10 % ont entraîné une hospitalisation et 31 personnes sont décédées d’une maladie liée à la COVID. La majorité des cas se sont produits dans le groupe d’âge des 35 à 49 ans.
Les CDC cessent de compter les cas de percée à moins qu’ils n’entraînent une hospitalisation ou la mort
Les CDC disent qu’ils travaillent avec les départements de santé des États et locaux pour enquêter sur les cas de percée du vaccin COVID - mais contrairement aux départements de la santé de l’État, à compter du 1er mai, l’agence a déclaré qu’elle ne suivait que les cas de percée qui entraînent une hospitalisation ou un décès.
Les CDC ont déclaré qu’ils ont apporté le changement dans la façon dont ils comptent les cas de percée pour « maximiser la qualité des données collectées sur les cas de la plus grande importance clinique et de santé publique ».
Mais selon le Dr Robert H. Shmerling,rédacteur en chef de la faculté de Harvard HealthPublishing, il pourrait y avoir d’autres raisons pour la décision du CDC. « Tout d’abord, il y a le défi de la messagerie pour encourager les gens à se faire vacciner », a écrit Shmerling. « Se concentrer sur les cas révolutionnaires peut donner l’impression trompeuse que les vaccins ne sont pas efficaces. Cela pourrait compliquer les efforts de lutte contre la réticence à la vaccination.
Le changement dans la déclaration des percées se traduit par une diminution du nombre total de signalements de cas de percée aux États-Unis.
Selon les données des CDC, un total de 10 262 infections par le vaccin SARS-CoV-2 avaient été signalées dans 46 États et territoires américains au 30 avril, dont 995 hospitalisations et 160 décès.
Le site Web des CDC indique que le nombre réel de percées vaccinales est probablement considérablement plus élevé, car le système de surveillance est passif et repose sur la déclaration volontaire des départements de la santé de l’État et peut ne pas être complet. De plus, certains cas révolutionnaires ne seront pas identifiés en raison du manque de tests. Cela est particulièrement vrai dans les cas de maladie asymptomatique ou bénigne.
En date du 7 juin, les CDC ont reçu 3 459 rapports de 47 États et territoires américains d’infection par un vaccin contre la COVID qui a entraîné une hospitalisation ou la mort. Sur les 3 459 rapports, 1 691 (49 %) chez les femmes, 2 642 (76 %) survenues chez des personnes de 65 ans et plus, 3 275 (95 %) ont entraîné une hospitalisation et 603 (17 %) est mort.
Comme pour les rapports précédents, les CDC ont déclaré que l’infection par percée signalée était probablement un sous-dénombrement de toutes les infections au SARS-CoV-2 chez les personnes entièrement vaccinées et qu’il s’agissait d’un instantané qui pourrait être utilisé pour aider à identifier les tendances et à rechercher des signaux parmi les cas de percée vaccinale.
Les personnes qui ont la COVID ont une immunité naturelle durable
Comme l’a rapporté The Defender,une nouvelle étude préliminaire de la Cleveland Clinic a révélé que les personnes précédemment infectées par le SARS-CoV-2 étaient moins susceptibles d’être réinfectées que les personnes entièrement vaccinées qui n’ont jamais eu le virus - ce qui suggère que le vaccin n’est d’aucun avantage pour les personnes qui avaient déjà COVID.
L’étude, disponible sur medRxiv, donne un aperçu de la façon dont le système immunitaire protège le corps une fois qu’une infection COVID est confirmée.
La clinique a étudié 52 238 employés. De ce nombre, 49 659 n’ont jamais eu le virus et 2 579 ont eu la COVID et se sont rétablis. Sur les 2 579 personnes qui ont déjà été infectées, 1 359, ou 53 %, n’ont pas été vaccinées, comparativement à 41 %, ou 22 777, qui ont été vaccinées.
De toutes les infections au cours de la période d’étude,99,3 % sont survenues chez des participants qui n’avaient pas été infectés auparavant et qui n’étaient pas vaccinés. En revanche, 0,7 % des infections sont survenues chez des participants qui n’étaient pas infectés auparavant, mais qui étaient actuellement vaccinés. De manière significative, aucun des 1 359 sujets précédemment infectés qui n’ont pas été vaccinés n’a eu d’infection au SARS-CoV-2 pendant la durée de l’étude.
Pour mieux comprendre la mémoire immunitaire du SARS-CoV-2, des chercheurs dirigés par les Drs Daniela Weiskopf, Alessandro Sette et Shane Crotty de l’Institut d’immunologie La Jolla ont analysé les cellules immunitaires et les anticorps de près de 200 personnes qui avaient été exposées au COVID et guéries, a rapporté The Defender.
Les résultats, publiés dans Science, ont montré que le système immunitaire de plus de95% des personnes guéries de covid avaient des souvenirs durables du virus jusqu’à huit mois après l’infection. Des études antérieures ont montré que l’infection naturelle induisait une forte réponse, mais cette étude a montré que la réponse durait, a déclaré Weiskoph.
Une autre étude publiée dans Nature a évalué l’effet immunogène durable de la réactivité des lymphocytes T au SRAS et au SRAS-2. Les données ont montré que l’immunité naturelle était très robuste — et probablement plus robuste que toute immunité dérivée d’un vaccin.
Le défenseur a déjà fait état de cas de percée dans l’État de Washington, en Floride, en Caroline du Sud, au Texas, à New York, en Californie, au Minnesota et sur l’île des Seychelles,qui a entièrement vacciné plus de membres de sa population contre le COVID que tout autre pays au monde.
https://childrenshealthdefense.org/defender/8-fully-vaccinated-die-covid-maine-breakthrough-cases/?utm_source=salsa&eType=EmailBlastContent&eId=d23d97a3-a34f-4b9f-82b0-5a034097b363
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